« J’avais ce mot : luxuriant. Et cette image d’une forêt d’animaux, où les animaux seraient la forêt. Des souches qui avanceraient lentement, pompant du sol des éléments. Luxuriant.
Comme le torse, jusqu’aux épaules. On y passe la main droguée. Les doigts viennent s’accrocher, pincent, et avalent, tout ce qu’ils peuvent. C’est comme le torse. Sensible, usé, on tire dessus, on trait. »

Texte et mise en page: marguerin
Lyon, octobre 2018

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